Comment aider le mouvement ?

En parler

Cela semble l’action la plus simple et c’est pourtant infiniment utile : parler des chants pour tous autour de soi, témoigner de son expérience, inviter les gens à essayer… tout ça de vive voix avec ses amis et connaissances, et/ou sur les réseaux sociaux, en partageant l’adresse du site, en invitant ses amis à aimer la page Facebook, en partageant régulièrement les publications… bref aider à faire connaître et circuler le mouvement !

Plus ce site sera actif et vivant, plus il sera actif et vivant… c’est l’effet boule de neige ! Et même si ce n’est pas ici, chacun chez soi devant son écran, que le mouvement prend tout son sens, c’est bien ici qu’on se relie de Lyon à Toronto, qu’on a l’information qu’un chant pour tous va avoir lieu dans trois semaines à côté de chez soi, qu’on vient le lendemain du chant pour tous partager sa joie et son envie de recommencer ! Alors une bonne manière d’aider est de passer un quart d’heure de moins sur Facebook ou YouTube, et un quart d’heure de plus ici, à commenter les articles même si ce n’est pas pour dire grand chose de plus qu’un « youpi » ou un « merci », et même pourquoi pas à se lancer pour proposer un article ou un événement !

Pour moi c’est l’action la plus précieuse, mon rêve étant que des chants pour tous soient régulièrement organisés partout en France (voire dans le monde). Encore une fois, nul besoin d’avoir une grande expérience du chant, de l’improvisation ou de l’animation pour ça, seulement d’en avoir l’envie, le temps et le courage ! Et si vous en avez envie mais que ça vous fait peur, je vous invite à lire ce guide pour animer un chant pour tous, en espérant qu’il vous apporte repères et motivation !

Et puis ?

Cette liste n’est pas exhaustive ; si vous avez d’autres idées… Personnellement je ne mets aucune limite à mes rêves pour ce mouvement, j’imagine à long terme qu’on organise des chants pour tous dans des amphithéâtres avec des milliers de personnes, qu’on invite Bobby McFerrin, qu’on passe à la télé, et surtout qu’on chante et qu’on co-crée de plus en plus nombreux et de plus en plus souvent, qu’on fasse des improvisations collectives chez soi en famille, dans la rue avec des inconnus, en première partie des conférences, des spectacles… que ça nous rende plus joyeux, plus reliés, plus vivants !